La radiofréquence Attiva émet des ondes électromagnétiques qui, en passant en sous cutané, produisent et génèrent une grande quantité de chaleur, sans endommager la surface de celle-ci (ce qui n’était pas le cas avec les anciennes radiofréquences).
La radiofréquence endodermale Attiva va permettre d’agir sur l’aspect froissé et relâché de la peau grâce aux ondes électromagnétiques qu’elle émet et qui vont créer de la chaleur. Celle-ci va stimuler les fibroblastes qui vont alors synthétiser du collagène mais aussi de l’élastine.
La capacité de production du collagène diminue avec l’âge. Notre peau en perd en moyenne 1% chaque année et cela dès l’âge de 30 ans, et parfois même avant pour certaines personnes. À cause de cela, elle se fragilise, se flétrit et perd de sa fermeté. La fabrication d’élastine, quant à elle, diminue dès la puberté.
La chaleur induite par les ondes électromagnétiques de la radiofréquence endodermale Attiva va, à partir de 40 °, induire la synthèse de collagène. La synthèse de l’élastine sera optimisée entre 48 et 53° durant une durée de délivrance assez longue. Grâce au contrôle endodermique, au bout de la sonde on connaît exactement la chaleur délivrée et celle qui diffuse dans les tissus. On pourra donc optimiser la bio-stimulation.
Pour assurer la sécurité du patient, la radiofréquence ATTIVA dispose d’un double contrôle de température : un contrôle endodermique intégré sur la canule combiné à une caméra de contrôle thermique externe qui permet une surveillance constante de la température superficielle de la peau.Il est en effet important que l’accumulation de la chaleur ne dépasse pas une certaine température cutanée externe (risque de brûlure). Ainsi tout au long de la séance, on fera attention à la maximisation de la bonne diffusion de la température interne ciblée selon notre objectif et à ce que la peau ne fasse pas un réservoir trop important de chaleur. La durée de la permanence de la chaleur est essentielle également afin d’avoir une bio stimulation optimale.